Nous
étions devant la télé. Bien assis, mais pas tellement finalement, nous
regardions la télévision, jusqu'à ce qu'elle m'empoigne mon sexe.
J'étais
fatigué, vraiment fatigué. Ça faisait depuis déjà deux heures que je me retenais
pour ne pas dormir profondément. Pas que ce que nous regardions était moche,
loin de là, mais comme on dit, j'avais ma semaine dans le corps. Je dirais même
plus, dans le cul!
Étant
à combattre le sommeil qui revenait à tout moment, elle décida d'empoigner mon
sexe.
-
Hummmmmmm! Hummmmmmmmmmmmmmmmm! Oui!
Ce
que la fatigue disparaissait tout d'un coup!.
Elle
partit vers la cuisine pour un verre d'eau et revint avec cet air de "ce soir,
je vais t'avoir mon homme". Elle arriva, enleva mon pantalon, mes sous-vêtements
et dirigea sa bouche sur mon engin en érection. Vraiment en érection.
J'étais
excité. Ses yeux me disaient "reste calme, je m'occupe de tout". Elle s'occupait
effectivement de tout. Et ma fatigue avait disparu comme par magie.
Ses
lèvres se déposèrent sur mon gland, continuèrent son chemin pour qu'il puisse
être senti jusqu'aux amygdales et firent ensuite le chemin inverse. Elle répéta
le geste souvent, de façon convaincante afin que rien, non rien, ne puisse
laisser un doute sur l'aboutissement du geste.
Ses
yeux m'indiquaient la ferme intention que Madame avait pour cette fin de soirée.
Elle y allait de va-et-vient, successivement pour qu'on en entende les
claquements de lèvres sur ma queue partout dans la maison.
"Smack
mack mack smack smack mack mack mack smack", les mains accompagnaient aussi les
lèvres dans les gestes jusqu'à ce que je décidai de me lever.
L'Homme
se levait!
Lui
prenant la tête, pas trop fermement, mais juste un peu afin de pouvoir suivre le va-et-viens,
je me sentais comme un vrai homme. La virilité me remontait à l'esprit. I'm the
man!
Après
quelques "humm", "tu es vraiment bonne", "continue", et le fameux "sti que tu es
hot", je commençais à sentir qu'il n'y avait pas seulement la virilité qui
remontait. J'étais sur le point de jouir.
En
plein milieu du salon, debout devant Madame qui était "confortablement" assise
sur le divan, juste à côté de la fenêtre du salon, dont le rideau devait laisser
voir de l'extérieur les ombres de nos actes et qui devait facilement exciter
ceux qui pouvaient regarder, j'ai laissé aller un:
-
Humm... je....vais...
Je
me retire et je la regarde me regarder. Je me sentais en contrôle de l'incontrôlable. Pour la
première fois depuis des lunes, j'avais l'impression d'être un vrai mâle. Elle
avait vraiment réussi son oeuvre, son chef-d'oeuvre.
Et
moi, les mains remplies de jouissance, je me disais que la fatigue, c'était
vraiment sélectif.
Oui,
car la vie de couple est parfois remplie de moments de fatigue, vécus par l'un
ou par l'autre, mais parfois, lorsqu'on se donne la peine, il en résulte des
moments incroyables qui nous aide grandement à nous faire sentir bien.
Vraiment
bien.
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